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Théories & gravitation

 

On peut se demander pourquoi il va beaucoup être question d'éther (aether) dans cette partie alors que le sujet est la gravitation. La réponse tient au fait que l’éther en tant que médium est probablement nécessaire au phénomène d'antigravitation...

 

 

 

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>> Sommaire de cette page

 

 

 

 >> Autres pages : gravitation (intro Galilée Newton) - la mécanique newtonienne - la relativité selon Einstein

                                   mécanique quantique - ondes de choc - théories - gravitation (conclusion)

 

 

  

 

>> Introduction

 

 

On peut se demander pourquoi il va beaucoup être question d'éther (aether) dans cette partie alors que le sujet est la gravitation. La réponse tient au fait que l’éther en tant que médium est probablement nécessaire au phénomène d'antigravitation.

 

On considère les forces gravitationnelles comme extrêmement faibles en regard des forces électrostatiques et magnétiques. Comment le champ de gravité d’une masse telle que la terre peut-il être suffisamment perturbé pour neutraliser la force de l’attraction terrestre ? Cela ne semble pas être faisable si la gravité voyage dans un espace vide. Cependant, si l’espace est rempli d’une substance du genre éther, également essentielle à la propagation de la gravité, alors on peut concevoir que l’on peut contrôler cet éther pour avoir la possibilité de manipuler la gravité en se servant de l’énergie contenue dans ce même éther. Donc, l’évidence de l’éther décrite ci-dessus rend plus plausible le concept d’anti gravité.

Dans ses écrits sur la gravitation, le Dr Nieper dit que seuls quelques rares scientifiques comme A. Magyari, K.P Stanyukovitch, et le groupe d’Anatol J. Schneiderov se sont jusqu’ici sérieusement penchés sur ce problème et ont critiqué les déficiences des lois existantes.

Depuis 1953, le Dr Nieper pensait, comme Magyari et Stanyukovitch, que le rayonnement du champ '' radional '' pénètre les corps aussi bien que les masses dans l'univers mais en perdant ainsi de l'énergie. Cette énergie qui quitte le corps après l'avoir pénétré est inférieure à celle qui provient de l'extérieur ce qui a pour conséquence l'accélération gravitationnelle dans la direction de la masse. Pour exemple, l'interception par la Terre de l'énergie gravitationnelle qui la pénètre lui fait perdre 4 à 4,5 % de masse (un document NASA sur les lunes de Jupiter indique même 25 %).

De nombreux auteurs se demandent s'il n'est pas possible d'expliquer la chaleur du Soleil par d'autres mécanismes que celui de la fusion, mais par la densité du champ de tachyons, que le Dr Nieper dénomme coussin périsolaire. Le Dr Nieper a établi une théorie dite de l'écran gravitationnel qui l'a amené à penser que le magnétisme statique d'un noyau de fer ou une induction électromagnétique modifie la ''transparence'' du rayonnement du champ radional et le fait dévier, ce qui expliquerait par exemple les accélérations de la baguette de sourcier ou du pendule.

Nieper, Stanyukovitch et Schneiderov avaient rejeté, depuis longtemps, comme improbable, l’hypothèse d’une attraction de masses ou d’une attraction de la terre.
Au début des années 20, Levetzow, ingénieur allemand pensait que l’accélération gravitationnelle n’est pas un phénomène d’attraction mais de pression. Il n’a pu faire passer sa vision des choses face à Einstein qui vivait à la même époque à Berlin et avait une influence puissante. Néanmoins, plusieurs physiciens russes ont suivi ses idées.

 

 

 

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>> Théorie de J.M.J. Kooy et J. Berghuis

 

 

La constante de Gravité serait une fonction du rayon de courbure d’un espace cosmique sphérique. Il semble pertinent de mentionner la mer de gravitons qui constitue une hypothèse de J.M.J.Kooy physicien hollandais et qui est en rapport avec un texte de Dudley qui parle de la mer de neutrinos.

Concevoir la gravité en tant que force externe implique davantage la possibilité que les corps ne s’attirent pas l’un vers l’autre mais sont mus ensemble par une sorte de rayonnement cosmique provenant de toutes les directions de l’infini physique. L’espace tout entier est occupé par des particules gravitationnelles se déplaçant de façon homogène (dans tous les sens) qu'il nomme gravitons venant de toutes directions. Ils existent depuis l’aube des temps, ont à peu près la même taille que les neutrinos, se déplacent beaucoup plus vite que la lumière et ont une masse résiduelle imaginaire. Ces particules entrent constamment en collision avec les particules ordinaires mais en raison de leur isotropie l’effet total des collisions est nul.

On peut les assimiler à des photons, sans masse résiduelle, mais avec une masse positive en raison de leur vitesse. On peut alors appeler ces particules " quantum de gravité ". Un graviton (à masse négative) serait alors une " absence " de quantum de gravité, de même que dans la théorie quantique relative à l’état " plein ", on peut concevoir l’absence d’un électron comme une " cavité " qui peut se déplacer à travers la structure solide.

Imaginons dans cette radiation gravitationnelle que l’on suppose uniformément distribuée, 2 particules élémentaires impénétrables à cette radiation ; l’équilibre de la pression de radiation sur chacune d’elles sera perturbé, et les particules auront tendance à aller ensemble. Si la distance entre 2 particules matérielles est grande comparée à l’étendue des particules elles mêmes, cette apparente attraction mutuelle sera inversement proportionnelle au carré de la distance. L’attraction gravitationnelle entre 2 corps macroscopiques serait alors due à l’impénétrabilité des particules élémentaires les constituant, comme à la radiation gravitationnelle....Les conséquences de ce qui précède sont importantes en cosmologie.

En supposant un espace cosmique sphérique, le rayonnement gravitationnel se répandra dans l’espace tout entier, de manière uniforme. Cet espace se dilatant, la densité de radiation gravitationnelle décroîtra. On peut donc s’attendre à ce que la constante gravitationnelle diminue avec l’augmentation du rayon de courbure. Mais, d’un autre côté, le rayon local de courbure de l’espace dépendra de la densité d’énergie locale, et par conséquent, aussi, de la densité de radiation gravitationnelle. Si cette radiation agit sur les masses matérielles selon la description ci-dessus, sa densité d’énergie diminuera, et le rayon de courbure augmentera. C‘ est seulement en utilisant la mécanique classique que l’influence perturbatrice d’une vitesse finie de gravitation a été prise en compte.

Cependant, quand deux corps ayant une certaine masse s’approchent l’un de l’autre, ils font mutuellement écran à une partie des gravitons qui se déplacent dans leur direction, la mer de gravitons perd son isotropie et pousse les corps l’un vers l’autre. Kooy a déduit cette théorie des mathématiques, et il a découvert qu’elle était en accord avec les lois normales de la gravité. La constante de la gravitation dépend ainsi de la densité de la gravité, et décroît avec l’expansion de l’Univers. Ce qui signifie, qu’en réalité, il n’existe pas de masse pesante, mais seulement de masse " inertielle ". Qui plus est, Kooy pense que l’esprit humain est capable d’influencer une structure atomique de telle manière que l’absorption des gravitons devient une fonction de leur angle d’incidence, et que, ainsi on peut arriver à la télékinésie et la lévitation, ce qui constituerait des servo-effets, l’énergie elle-même étant fournie par les gravitons. Il ajoute une fantastique vision du futur : si nous pouvions provoquer et réguler cette absorption différentielle, nous n’aurions plus du tout besoin d’être liés à la chimie ou à l’énergie nucléaire...

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>> Réflexions de William F. Hassel

 

 
Lors du congrès 1996 du MUFON (Mutual Ufo Network) il disait :

 

'' Il semble évident que les effets gravitationnels ou antigravitationnels sont associés à un mouvement giratoire de particules chargées... Le phénomène UFO fait souvent référence à des objets en sustentation et des perturbations de flux à proximité des véhicules, laissant penser que l’air est accéléré autour du véhicule, ce qui produit une poussée. Mais de nombreux rapports font état d’objets en lévitation à proximité du sol, dans le calme, ce qui suggère l’utilisation de forces antigravitationnelles... Ici, l’antigravité est définie comme une technique capable de produire apparemment un champ gravitationnel, neutralisant le champ terrestre ou réduisant la masse d’un objet. Donc, nous ne considérerons pas la suspension électrostatique ou magnétique comme des effets antigravitationnels. Même si elle est faisable, nous ne traiterons pas ici la gravité comme moyen de propulsion dans l’espace.

...On suppose que l’antimatière peut montrer des propriétés antigravitationnelles, en respectant la matière ordinaire. Les particules d’anti-matière comme des électrons positifs, des protons négatifs et des anti-neutrons, peuvent avoir des masses gravitationnelles négatives. Bien qu’on puisse créer ces particules en laboratoire, puisque leur vitesse résultante est voisine de celle de la lumière, on ne peut pas encore mesurer la flexion d’un rayon de telles particules, à cause de la gravité terrestre, et ainsi tester leurs propriétés gravitationnelles.''


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>> La gravitation selon Paul Brown

 

 
On accepte généralement la théorie qui dit que la matière est de l’énergie coagulée (E = mc2). J’aimerai reformuler ceci en disant qu’un éther très dense est matière. Maintenant nous modifions notre modèle d’univers pour inclure la matière. Supposons un corps d’eau (de n’importe quelle forme, mais pour simplifier, je choisis la sphère), des ondes allant dans toutes les directions et des cubes de glace se déplaçant autour : l’eau est l’éther, les ondes sont la lumière, et les cubes de glace sont la matière, et le ballon d’eau est l’univers.

La capacité de l’éther à pénétrer un corps s’oppose à la résistance due aux propriétés de la matière. Ceci crée une différence dans la pression éthérique entre l’intérieur du corps et l’espace. La pression éthérique de l’espace est proportionnelle à sa densité déterminée par les émanations totales des étoiles de l’univers et leur éloignement. La loi des états thermodynamiques établit que toutes les choses vont du supérieur à l’inférieur, au moins jusqu'à l’équilibre. L’espace a une haute pression par rapport à la basse pression éthérique à l’intérieur d’un corps.

Nous voyons maintenant que la présence d’un corps matériel perturbe l’énergie intrinsèque normale de l’éther. C’est le véritable sens de la relativité générale ; la matière dit à l’espace (l’éther) comment se courber, et l’espace courbe (l’éther) dit à la matière comment se comporter. C’est une vraie révélation.

Les conceptions faussées et la confusion inhérentes à la relativité générale proviennent du fait que l’on travaille sur des concepts abstraits qui sont supposés ne pas exister dans la réalité physique. Nous voyons maintenant que c’est avec la dynamique des interactions entre l’éther et la matière. que nous travaillons en utilisant la relativité générale.

Paul Brown poursuit :
Sir Oliver Lodge disait " Toute l’énergie potentielle existe dans l’éther ", et Sir J.J Thompson disait : " Toute l’énergie cinétique est une énergie cinétique de l’éther  ". Brush croit que :"  l’énergie cinétique de l’éther est la cause fondamentale de la gravitation, et qu’un corps en gravitation joue seulement un rôle secondaire, en perturbant la distribution normalement uniforme de l’énergie de l’éther. "

La vieille théorie de la poussée de l’éther de Isendrake dit que les corps ne s’attirent pas l’un l’autre, mais sont poussés l’un vers l’autre par une sorte de " radiation cosmique " provenant de toutes directions d’un infini physique.

Santilli a formulé une théorie de champ unifié qui répond à cette forme de logique. Il identifie le champ gravitationnel comme étant " une forme particulière, ou une mutation du champ électromagnétique. " Selon la théorie sur la gravitation d’Einstein, le tensor moment d’énergie de tout champ électromagnétique agit en tant que source de champ gravitationnel.

Nous avons vu que la gravité n’est pas une vraie force, mais une force observée - " centrificale " - créée dans nos esprits à cause de l’accélération relative d’un corps et en raison de la déformation de l’éther en présence de la matière. La gravité terrestre est le résultat de quelque chose accélérant relativement à la terre. La gravité et l’accélération ne sont pas seulement relatives, elles sont une et même chose.

 


 

C'est l'éther dynamique qui permet d'expliquer les orbites planétaires. Pour visualiser cette mécanique orbitale, il faut se familiariser avec la démonstration suivante. On prend un disque vibrant, mince. On répand une poudre sur sa surface, et on le fait résonner (comme dans les expériences de Chladni) sur une note de musique fournie par l’éther dynamique. On remarque que la poudre se déplace en windrows (sic) concentriques, espacés d’une longueur d’onde. Quand les cercles se rapprochent du centre, les vibrations rayonnantes cassent le modèle circulaire (si l'on fait tourner le disque, les lignes des rayons ressembleront alors à une nébuleuse en spirale).

 
Le Soleil émet une large gamme de fréquences qui rayonnent dans toutes les directions, pendant que des ondes électromagnétiques le pénètrent en venant de toutes directions. Ceci produit un modèle d’interférence semblable à celui du disque et dans lequel les planètes occupent les nœuds les plus profonds dans le système solaire. L’espace solaire est rempli d’un nombre infini de nœuds harmoniques supérieurs dont chacun d’eux est capable d’attirer et fixer une masse de matériau. Lorsque l’on voit des corps interplanétaires attirés vers des endroits où il n’existe aucune masse centrale, pour établir un champ gravitationnel selon la théorie contemporaine, on a alors la preuve que les orbites planétaires sont dues à la dynamique de l’éther.

Voici pourquoi une planète trouve son orbite à un endroit précis du système solaire, mais on est en droit de d’étonner de voir ses révolutions autour du soleil sur cette orbite. En examinant attentivement le disque, on discernera éventuellement que le flux d’énergie ne s’arrête pas aux nœuds, mais subit une brusque rotation à angle droit, alors que sa fréquence d’onde et sa vitesse se transforment..

Puisque la gravité est un résultat des différences de pression éthériques, on peut alors pratiquer l’antigravité par la situation inverse, c’est à dire en créant une zone où la pression éthérique est forte et la densité plus basse que dans la zone " emediate ". Imaginons un hamster dans une balle de plastique, sur le tapis. Quand le hamster bouge, la balle bouge avec lui, il peut alors circuler partout sur le tapis, et ne jamais quitter la balle. On peut produire une telle zone d’antigravité en employant des champs de force électromagnétiques ou plus subtilement des résonances harmoniques. (Voir John E. W. Keely dans notre précédent Energie Tachyon…)

Brush a réussi de nombreuses expériences en essayant de déterminer la capacité de pénétration de l’éther sur diverses substances. Ses résultats s’expliquent uniquement par l’éther dynamique.

C’est la logique qui conduit à affirmer que l’éther doit exister. En se servant de l’éther dynamique, on peut expliquer le mécanisme de la gravitation, aussi bien sur la terre que dans le cosmos. Avec l’éther, on peut voir une explication à des choses comme les nébuleuses spirales, et mieux comprendre la relativité générale. La compréhension de la dynamique de l’éther permettra à notre technologie d’utiliser l’antigravité et de domestiquer l’énergie de l’espace.

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>> Des expériences historiques concernant la gravitation

 

 
En 1920, à Turin, en Italie, par le Pr. Q. Majorana.
Les expériences concernaient l’absorption de la force gravitationnelle par un milieu intermédiaire. Il suspendait une sphère de plomb de 1,3 kg à l’intérieur d’ un bouclier de 104 kg de mercure, et trouvait que le poids de la sphère diminuait de 0,00098 mg lorsque elle plongeait dans le mercure. D’autre expériences, en 1926, utilisaient une masse - bouclier de 10 tonnes de plomb. On a trouvé une constante d’atténuation h de 2,8 x 10 -13 m 2 / kg où le facteur d’atténuation pour un matériau - bouclier qui a une densité d et une épaisseur t devient e -hdt. Cette théorie prédisait que le soleil est bien plus dense qu’on ne l’estime, mais l’effet gravitationnel n’est pas évident du fait de son propre effet d’écran. Un tel écran n’est pas prévu par la théorie d’Einstein sur la gravitation.

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>> D'autres expériences et théories

 

 

  • Le concept de l’éther n’a pas eu la faveur dans les années 20, à cause des expériences de Michelson-Morley, qui ont fait conclure à la non existence de l’éther. Cependant d’autres expériences tendent à réfuter cette conclusion.
  • Le Dr Miller entreprit une grande série de 200.000 mesures d'après cette expérience sur 25 ans dont quelques unes ont été faites avec le Pr. Morley. Il a démontré un effet de dérive d’éther positif de 10 km par seconde au Mont Wilson.
  • G. Sarnac a fait des expériences avec un interféromètre en rotation, projetant des rayons de lumière dans des directions opposées. Il a obtenu un modèle d’interférence perceptible à deux révolutions par seconde, démontrant ainsi une différence dans la vitesse de la lumière dans le sens de la rotation comparée à la direction opposée, comme on pourrait s’y attendre si l’appareil tournait dans un éther.
  • En 1925, Michelson avait parlé d’un expérience similaire. Elle consistait en un interféromètre attaché à une canalisation de 30 cm où on avait fait le vide, dans une configuration de rectangle de 612 m par 340 m. Le déplacement du rayon de lumière observé correspondait à ce qu’on attendait compte tenu de la rotation de la Terre.
  • En Janvier 1959, le Hungarian Exporter, (n° 1, vol.9, 1959) publiait une nouvelle théorie sur la gravitation élaborée par le Dr et ingénieur E. Magyari. On la décrivait comme " Transfert d’Energie et de puissance par pénétration" . A la tour de radio de Budapest pendant l’éclipse solaire du 15/02/1961, l’expérience et les commentaires de Magyari sur la nouvelle physique ont fait sensation. Il en est arrivé à dire que l’accélération gravitationnelle est une conséquence d’un effet de pression.
  • En 1959, L. de Broglie, lauréat du prix Nobel, proposa le concept d’un éther consistant en une mer de neutrinos, - de très petites particules subatomiques de la masse d’un électron mais sans charge électrique.
  • Plus récemment, B. Kuclowicz, qui a examiné ce problème donne une densité de particules de 10 12 par cm 3, pour une densité énergétique effective de un joule par cm 3 .
  • Une des premières objections à la théorie de l’éther a été que la terre subirait un ralentissement en le traversant. Que l’éther produise sur la terre un effet retardateur par friction ou pas, dépend réellement du modèle choisi. Mais C. Van Flandern de l’U S Naval Observatory a probablement du observer si vraiment l’éther retarde la terre et d’autres corps célestes. En effet, ses études montrent que la vitesse orbitale de la terre autour du soleil ainsi que celle de la lune autour de la terre sont toutes les deux en train de diminuer, à un taux qui dépasse celui du à la friction des marées. Il essaie d’expliquer cela en disant que la gravité diminue avec le temps, à un taux de une partie sur 10 milliards par an. Cependant, il pourrait bien y avoir une autre explication, due au fait que la terre et la lune subissent ce retard en raison de leur mouvement dans l’éther. Un concept d’éther gyrostatique compatible avec la théorie de l’onde électromagnétique de Maxwell donne peut-être une explication : ce concept d’éther n’offre pas de résistance à la compression ou à la distorsion, mais il résiste à la rotation.


Des expériences modernes, des perspectives...

Extraits de l’intervention de William F. Hassel en 1975, à un symposium du MUFON sur des hypothèses relatives à l’origine des Ovnis.

  • Maurice Allais s’est servi d’un pendule libre de tourner dans toutes les directions, mais avec un support conçu pour produire un léger mouvement elliptique. Le pendule fonctionne comme un pendule de Foucauld. Pendant un mois, les expériences d’Allais ont révélé, une période de 24 aussi bien que de 25 heures, avec de grands écarts par rapport à une progression angulaire linéaire sur un intervalle donné de 24 heures. Il a aussi été trouvé que le plan d’oscillation se décalait de 15 ° pendant une éclipse solaire totale, mais le décalage maximum était en avance de 20 minutes sur le maximum de l’éclipse.
  • Niels T. Sorensen utilise des radiations à micro ondes pour réaliser une réduction dans le champ gravitationnel local. Les expériences ont été faites sur cette base, à 5 kW CW et à une fréquence de 9,2 GHz. Un objet de 100 g. suspendu le long de l’axe du système perdait du poids , quand il se trouvait juste sous l’apex, et en gagnait juste au-dessus de lui. La moyenne faite sur des centaines de mesures donne 70 milligrammes.
  • En 1971-72, Peschka, à Stuttgart a fait une séries d’expériences montrant qu’on pouvait produire une force par un système sans expulsion de masse ou de mouvement mécanique, et sans l’interaction de champs électriques et magnétiques avec l’environnement. Il ne donne pas d’explication à cet effet de force, mais il remarque le changement gravitationnel.
  • En Allemagne, Horst Hanschmann a un brevet (N° 2.134 182, 1975) sur un appareil qui produit des ondes de gravité en mettant en phase les spins des électrons et des protons des atomes d’une substance cristalline, par des champs magnétiques, et atteignant ainsi l’état d’énergie de la radiation électromagnétique. Bien que l’effet soit minime, l’explication se base aussi sur le concept de spin. Le concept d’éther gyrostatique, où l’éther peut réagir avec la matière en rotation, est peut-être juste.
  • R.M. Wood pense que l’extension de gravité sera réussie dans les années 1990. Les expériences d’aujourd’hui, n’ont que de très petits effets et ne sont pas encore assez prometteuses pour fournir une antigravitation pratique. Elles fournissent néanmoins les données sur lesquelles se construisent les nouvelles théories. Une fois qu’une théorie juste est développée, il devient plus facile d’étudier et d’optimiser les paramètres critiques pour augmenter l’effet antigravitationnel. C’est alors que la physique théorique aura résolu le mystère de l’anti gravité, de la lévitation des OVNIs, et que le jour sera venu où des véhicules circuleront en apesanteur.
  • Durant l’été de 1927, deux scientifiques, en Pologne, Kowsky et Frost, remarquèrent que les cristaux avaient des propriétés spéciales antigravitationnelles. Ils donnaient suite ainsi à quelques découvertes en piezo électricité faites par Meissner chez Telefunken et qui avaient permis de trouver que des cristaux pouvaient en même temps perdre leur transparence et changer leur gravité spécifique.
  • Au moyen d’oscillations d’émetteurs radio de plusieurs kilowatts, d'une technique piezo-électrique, Kowsky et Frost ont fourni une suralimentation à un petit cristal. Ils se sont aperçus que les dimensions du cristal augmentent sur un côté de 200 %, et le volume s'accroît de 800 % tandis que son poids d’environ 28,35 g se réduisait. Quand le cristal subissait une excitation électrique qui le faisait monter, il était capable également de soulever, en plus de l'appareil qui le faisait flotter, et à 2 mètres environ au-dessus du sol du laboratoire, un poids supplémentaire de 25 kg.
    Les comptes rendus et des photos de l’essai ont été publiés dans le journal allemand Radio Umschau et dans le n° de 1927 de Science et Invention.
    • Les chercheurs Dan Davidson et John Parr disent avoir obtenu (au moyen d’un champ magnétique et d’une rotation) une réduction de poids momentanée de 50% lors d’une de leurs expériences. Ils ne sont pas les seuls à dire que l’on peut augmenter ou diminuer (perte de poids) l’afflux de l’éther en utilisant tout mouvement d’énergie ou de masse qui se déplace dans un certain sens.

    Toutes ces expériences ont un lien commun, la possibilité d’avoir influencé l’alignement de spin des molécules des appareils expérimentaux. Il se peut que le rayonnement de micro ondes soit entré en interaction avec les atomes de l’objet testé, et avoir produit un alignement des spins atomiques, et un mouvement rotatif mécanique peut aussi avoir produit un effet similaire.


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    >> Autres théories sur la gravitation

     

     

    • De John Worrell Keely : le temps est gravitation

    L’aether afflue dans la matière pour produire une force de compression que nous nommons gravité. Toute la matière et l’énergie ne font pas qu’en jaillir, mais reviennent à l’état d’éther. Le flux de l’éther dans un agglomérat de masse est compté en partant de la manifestation, à la maturité et au retour dans l’éther. Ce chronométrage est un sous-produit du flux de l’éther et mesure ainsi le vieillissement de la matière. Les passages par la naissance, l’âge mûr et la mort sont mesurés par le temps, c’est pourquoi, en réduisant ou en accélérant le flux de l’éther, cela influencera proportionnellement la gravité et le temps.

    • De David Hamel : Le poids en vitesse

    Si l’on crée un puits de faible densité et que l’on place une masse sur son bord, elle tombera dedans. Ensuite, on déplace le puits de façon que la masse reste toujours sur le bord. Elle continuera à continuer de tomber en avant en essayant de remplir le puits. C’est tout comme la carotte placée devant la mule qui traînera une charge en la suivant. Dans l’éther, si l’on crée ce genre de puits, l’éther environnant affluera continuellement en cherchant à remplir le puits jusqu'à ce qu’un équilibre s’installe. Si l’on enfonce très vite une main dans de l’eau, on créée pendant un moment un puits qui bientôt sera rempli par l’eau environnante s’y précipitant pour ré-établir l’équilibre. Ce n’est pas qu’une réponse pour la poussée, mais aussi pour l’énergie et pour l’ascension.

    • De Michel David

    Chercheur français indépendant, il explique depuis une trentaine d'années que nous vivons dans un système de poussée universelle. Pour lui, la gravitation n'est due qu'à la présence de la matière née de l'agglomération des gravitons. Le graviton étant l'ultime particule, mère de toutes les autres particules qui n'en seraient qu'un état dégradé comme les quarks, électrons, photons.

    L'éther serait donc formé de ces gravitons venant de toutes parts du cosmos, pénétrant toutes choses mais se laissant parfois piéger au cœur de la matière, augmentant ainsi sa masse continuellement et créant le feu interne des corps célestes. Les corps ne seraient donc pas attirés les uns par rapport aux autres, mais poussés en fonction d'un " cône d'ombre éthérique " créant la gravitation par un déséquilibre dans l'éther. De ce fait, pour agir sur la pesanteur, il suffit de trouver un écran manipulant et régulant la densité de gravitons autour du corps sans toutefois en être solidaire. L'objet peut alors se déplacer dans toutes les directions, à toutes les vitesses jusqu'à " tomber vers l'espace ".

    M. David pense que ces particules seraient le support de l'Esprit Créateur Universel et même le Spiritus Mundi des Anciens.



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    >> Quelques témoignages et réflexions relatifs à des

           phénomènes curieux de gravitation

     

     
     

    Dan Davidson témoigne d'un cas particulièrement intéressant au Tibet :

    " Une pierre de un mètre cube et demi est placée dans une cuvette hémisphérique de un mètre de diamètre située dans le sol. Les prêtres émettent un bruit continu au moyen de cors, de tambours et de tout objet capable d’ajouter à la cacophonie. Je pense que le trou dans le sol réfléchit ces sons dans la pierre. Après quelques minutes, la pierre est comme sensibilisée et se trouve dans un état proche du chaos. Cinq minutes après, on frappe un gros tambour qui joue le rôle de déclencheur sonore, ce qui pousse la pierre par dessus bord (hors limite) (au sens énergétique).

    L’afflux de l’éther dans les centres neutres de la pierre fait qu’ils sont perturbés par la cacophonie. Lorsque retentit le gros tambour, tous les sons se concentrent, comme dans un laser acoustique, pour repousser et détourner l’éther de la pierre. Comme dans l’expérience Finlandaise à l’Université Tampere, le poids de la pierre est réduit fondamentalement (pas supprimé). Alors, la pierre ressemble à un bloc de polystyrène pendant quelques secondes. La pression de l’air accumulé dans la cavité sous la pierre fournit une poussée explosive qui la projette en l’air et sur le bord."

    Selon des géologues sibériens la montée et la descente du niveau de l'eau des grands océans dépend de la rotation de la Terre. Depuis la fin des années 30, un ralentissement de la vitesse de rotation de la Terre s'est produit, s'est arrêté, et a été suivi ensuite depuis 1972 par une accélération. On peut comparer ce processus aux fluctuations scientifiquement constatées de la surface de l'eau de la mer Caspienne. On a mis en évidence qu'un ralentissement provoquait une montée des eaux alors que l'accélération les faisait baisser. Ce sont des phénomènes que l'on constate aussi pour la mer d'Aral, le lac (ou la mer) des Balkans au Kazakstan, à Njassa, en Afrique ainsi que pour d'autres grandes étendues d'eau. On a trouvé que leurs réactions aux modifications de la vitesse de rotation terrestre se produisaient avec un décalage de 6 ans.

    En 94 ou 95, M. Grzegorczyk (Sillerstrasse 67, 42327 Wüppertal Tél: 02 02/714614) écrivait au Dr Nieper :

    " Membre de la DVS, originaire de Pologne, je m'y rends souvent. Il y a 2 ans, j'ai découvert un phénomène physique intéressant. Il y a dans les montagnes de Beskid "Zywiecki", un mont nommé Görazar. Sur la route qui mène au sommet, il existe une section de route d'environ 20 à 25 mètres où une voiture, sans élan donné, continue de monter seule, sans moteur…j'ai constaté cela avec une sensation bizarre…je vous en informe car je pense qu'il s'agit là d'une forme d'énergie qui pourrait être reliée à vos recherches. "

    Dans un article datant de 1994, publié dans le n° 32 de décembre 94 -janvier 95, et analysant les pertes de poids enregistrées au cours de travaux sur la bobine de Seike, N. A. Reiter de Gibsonburg, Ohio écrivait :

    " Que nous tentions de reproduire les travaux de Brown, Hooper, Dotto, et autres ou choisissions de suivre nos propres idées folles, il faut se rappeler qu'il existe deux possibilités pour la Percée Finale sur la gravité.

     

    1. le contrôle de gravité nécessitera des matériaux d'avant-garde et des dépenses phénoménales d'énergie et d'argent, et il sera alors aux mains des grands laboratoires ou des industries reliées à la défense.
    2. Le secret de la gravité peut être caché dans un procédé ou un principe ou une technologie facile à obtenir. Il ne faut peut-être vraiment que des matériaux simples et quelques watts d'énergie associés à une observation assidue.

    Bien sûr le scientifique amateur met ses espoirs dans l'option B. L'astuce qui rend cette option B possible tient dans le fait qu'il n'y a que très peu de composants modernes qui aient jamais réellement été pesés avant, pendant et après leur fonctionnement. Citons par exemple les moteurs triphasés, les cellules solaires, les LED, les jonctions de thermocouple et Peltier, les tubes laser etc.

    Des systèmes de pesée calibrés sont abordables pour de nombreux chercheurs. Pourquoi ne pas débuter une " croisade " en pesant toutes sortes de choses. Une cellule solaire au silicium perdra ou gagnera peut-être quelques milligrammes si elle reçoit ou no de la lumière ? Mais combien de personnes ont jamais eu l'idée de peser une cellule solaire ?

    Voir les pages 241 à 320 du livre de Stan Deyo : " La conspiration cosmique", éd. Louise Courteau 1991 et le site de Jean-Louis Naudin avec les travaux de Brown, le projet Arda etc...
     

     

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